Les princes de la main gauche
J'adore la langue française. Bon, c'est vrai que j'ai des prédispositions puisque c'est celle que je maîtrise le moins mal. J'adore la langue française disais-je donc. Je l'adore pour sa richesse de vocabulaire, pour ses sonorités, mais aussi pour le charme indéfinissable qui émane de certaines expressions. Je vais donc vous parler aujourd'hui des "princes de la main gauche".
Kézaco ? Les princes de la main gauche, c'est le nom donné sous la monarchie aux branches cadettes de la dynastie régnante sur le royaume de France. Ces branches devenue cadettes par le hasard des naissances, condamnées à jouer les seconds rôles dans l'histoire de France, ce sont les Conti, les Condé, les Orléans... Souvent fidèles serviteurs de la monarchie capétienne, parfois traîtres à la Couronne des lys.
Je trouve cette expression parfaitement adaptée. Ce sont tout d'abord des princes. C'est à dire des Grands, des nobles puissants et influents. Des personnages dont l'histoire familiale se confond avec l'histoire nationale. Puis ce sont ceux de la main gauche. Cette main secondaire, dont nous nous servons assez peu par rapport à la main droite (pour les droitiers bien sûr). Cette main dont la perte serait douloureuse mais pas trop incapacitante.
Poétique, imagée, collant parfaitement à la réalité de la chose. Définitivement, j'adore cette expression.
Kézaco ? Les princes de la main gauche, c'est le nom donné sous la monarchie aux branches cadettes de la dynastie régnante sur le royaume de France. Ces branches devenue cadettes par le hasard des naissances, condamnées à jouer les seconds rôles dans l'histoire de France, ce sont les Conti, les Condé, les Orléans... Souvent fidèles serviteurs de la monarchie capétienne, parfois traîtres à la Couronne des lys.
Je trouve cette expression parfaitement adaptée. Ce sont tout d'abord des princes. C'est à dire des Grands, des nobles puissants et influents. Des personnages dont l'histoire familiale se confond avec l'histoire nationale. Puis ce sont ceux de la main gauche. Cette main secondaire, dont nous nous servons assez peu par rapport à la main droite (pour les droitiers bien sûr). Cette main dont la perte serait douloureuse mais pas trop incapacitante.
Poétique, imagée, collant parfaitement à la réalité de la chose. Définitivement, j'adore cette expression.
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