Tagmata

La culture, c'est comme la confiture... Avec de vrais morceaux d'autodérision dedans, c'est encore meilleur.

jeudi, janvier 19, 2006

Deutschland Uber Alles

Une personne de mon entourage m'a raconté une histoire qui m'a bien fait rire. Je ne suis pas sûr de son authenticité, mais je ne résiste pas à l'envie de vous la rapporter.

Des étudiants allemands, fatigués de l'image de rigueur extrême qui traîne au basques de leurs compatriotes, ont fait une petite expérience. Ils ont choisi deux cabines téléphoniques. Sur l'une, ils ont collé une étiquette avec le symbole "homme", sur l'autre, idem mais avec le symbole "femme". En espérant que les hommes et les femmes utilisent les cabines qui leur sont réservées, comme pour des toilettes, afin de démontrer que les Allemands ne sont pas plus attachés à la discipline que n'importe qui.
L'expérience commence, et il s'avère rapidement que les Allemands vont tous dans la cabine "homme" et les Allemandes dans la cabine '"femme". Nos étudiants ne se découragent pas et restent toute la journée à observer. Hélas, le même phénomène se reproduit encore en encore. Finalement, en fin de journée, une femme se présente devant la cabine "homme", et elle entre ! Les étudiants se précipitent alors pour l'interroger. Celle-ci répond alors :

"Excusez-moi, je ne comprends pas. Je suis Française."

Ach ! Maudits Français !

jeudi, janvier 12, 2006

Histoire naturelle

Je fais partie des personnes qui ont la chance d'avoir vue sur la campagne en regardant par la fenêtre, et je m'en félicite chaque jour.
Particulièrement aujourd'hui où j'ai pu assister à un spectacle cocasse.

Alors que je levais la tête de mon ordinateur et regardais par la fenêtre, je vis un petit chat noir qui s'activait contre des corneilles. Ou plutôt devrais-je dire le contraire. En effet, un groupe de corneille, perchées sur un vieille arbre (style Sleepy Hollow), s'amusait à taquiner le matou. Elles prenaient leur envol, venaient virer juste au dessus de la tête du chat, puis retournaient sur leur branche. Elles faisaient cela l'une après l'autre. Le chat, lui, ne pouvait pas les atteindre avec ses pattes. Dépité, il a fini par s'en aller, maudissant sans doutes ces piafs bien insolents.